• C'est clair, la saison d'entraînement a bien repris, même notre Vince national est de retour, en pleine forme (pouvait-il en être autrement ?).

    Il n'aurait pas manqué la séance nat' d'hier soir, tout en douceur : environ 4 400m avec de l'échauffement en 4 nages (comme on aime) puis 3 blocs de nages variées : du battement bien appuyé, des éducs, du pull-élastique-paddle, de la NC et bien sûr, des 25m au taquet, départ plongé.

    De quoi se faire plaisir, y'en avait pour tous les goûts, merci coach !

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  • C'est un jour de requin (si vous avez vu le reportage de FR3 cet aprèm), honneur donc à celui qui reste cetainement le plus connu de tous les rescapés d'une attaque de requin : Mr Rodney FOX. Quelques petits mots sur ce personnage :

    Rodney Fox est réalisateur de films et organisateur de nombreuses expéditions consacrées au Grand Requin Blanc.
    Né en Australie du Sud le 9 Novembre 1940 , il est marié avec Kay et a trois enfants ( Andrew, Lenore et Darren ). Seul Andrew reste à ses côtés et semble reprendre le flambeau pour succéder à son père dans cette formidable aventure.Rodney et sa femme ont entièrement rénové une ancienne caserne de pompiers pour en faire un musée dont le nom est " Home of the Great White Shark ". Il renferme quelques pièces de collection comme les cages anti-requins qui ont servi pendant le tournage " Les dents de la mer " ou certains des films tournés pendant ses expéditions, ainsi que des fossiles de dents du fameux " Carcharodon Mégalodon" .

    Rodney Fox a raconté à Jean-Michel Cousteau son attaque de Décembre 1963 :"La compétition avait débutée depuis environ quatre heures et je plongeait en apnée à 1000 mètres au large de la côte. Quelques quarante chasseurs sous-marins faisaient de même, et, en raison du nombre de prises, du sang s'était répandu dans l'eau en quantité inhabituelle. J'étais près de gagner, car j'avais harponné plus de poissons qu'aucun autre. Ayant repéré un "morwong" (grand poisson des profondeurs ressemblant à une perche) je m'en approchais pour porter le coup fatal qui m'assurerait la victoire. Mon bras gauche levé pour plus de stabilité, j'armai mon fusil afin de tirer.

    Brusquement je reçois de plein fouet un coup violent dans la poitrine, je pers mon fusil et mon masque, et me retrouve filant à toute vapeur. Je comprends vite qu'il doit s'agir d'un requin et qu'il me tient comme un os dans la gueule d'un chien; alors je me mets à lui cogner sur la tête, cherchant les yeux, seuls points vulnérables. Il recule soudain. Pour parer le coup, je lance violemment ma main en avant, et la voici qui disparaît, happée par ses dents. Il faudra 97 points de suture pour la recoudre. Vite, je retire la main avant qu'il n'en fasse qu'une bouchée. J'ai une idée : je vais le serrer aussi fort que possible. Je mets les deux bras autour de son corps, loin de sa tête pour qu'il ne puisse pas me mordre. Mais je suis en apnée et je commence à étouffer. Je lâche le requin et me propulse de toutes mes forces vers la surface. Je prends deux ou trois grandes goulées d'air, puis je regarde vers le bas.

    Ce que j'ai vu à ce moment là, jamais je ne l'oublierai. Le cauchemar... celui qui nous hante tous. Juste au-dessous, l'eau était rouge de sang et une énorme gueule arrivait droit sur moi, grande ouverte, pour me dévorer. Le comble de l'horreur.
    Je décoche un coup de pied aussi fort que possible, il s'esquive et commence à me tourner autour. Au lieu de me mordre, il engloutit un flotteur en nylon que je tire derrière moi, auquel est accroché un poisson. Il continue à tourner et arrive à la fin de la corde en nylon qui relie le flotteur à ma ceinture et me hâle soudain vers le fond. Le requin va de plus en plus vite, m'entraînant dans une valse démente. Je tente de défaire ma ceinture pour me libérer, mais la boucle de sécurité à glissé et se trouve derrière mon dos, hors de portée. Je suffoque... C'est la fin, je vais mourir noyé ou blessé à mort. Soudain, la corde de nylon se rompt net. Le requin, en me mordant la première fois, l'a sans doute à demi sectionnée. Elle a cédée sous l'effet de la pression, et me voilà libre. Je regagne la surface comme je peux et je me mets à hurler de toutes mes forces : UN REQUIN ! UN REQUIN !...

    Par miracle, un bateau de sauvetage avait remarqué les nuages de sang et se dirigeait vers moi au moment où je refaisais surface. Je fus vite repêché et ramené au rivage; le sang coulait à flots de ma combinaison de plongée. Tout en maintenant mes intestins, on me transporta d'abord dans la voiture, puis dans une ambulance, et je fus admis au service des urgences d'un hôpital moins d'une heure après l'attaque. Les dents du requin blanc avaient creusé des trous béants dans mon torse, mettant à nu mon estomac, mes poumons et mes côtes, presque toutes cassées. Le cercle de morsures s'étendait jusqu'à mon bras gauche,  qui était ouvert jusqu'à l'os. Il fallut 462 points de suture." ( source : "le grand requin blanc" de JMCousteau et Mose Richards aux éditions Robert Laffont ).

    Source : http://www.chez.com/warbird/


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  • Déjà 2 saisons avec le Scott, une vraie machine à rouler. Très efficace dans les relances (quand les jambes suivent) et un bike hyper confortable même sur route dégradée, sans pour autant être mou.

    En grimpette de col, il n'y a vraiment que la condition physique du pilote qui limite l'affaire. Et les descentes sont un régal.

    Manque plus que des roues plus typées compèt (ah les Zipp 404 !) pour bien faire. Promis, dès que la bête est rééquipée, je poste une photo !


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  • Ben les gars, un peu fatigués après la course ?

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  • Nos 2 playboys de l'Equipe I, les filles les reconnaîtront...

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