En ces temps de réflexions (soi-disants) planétaires et responsables de notre "gestion" des éco-systèmes qui nous entourent ou devrai-je dire desquels nous faisons partis (même si certains plutôt portés sur la Foi et les Croyances pensent (75% des américains quand même !) que l'Homme est sur Terre pour profiter de ces bienfaits offerts par LA puissance supérieure...), voici encore un exemple de la bonne gestion à court terme et (c'est le cas de le dire) à l'emporte-pièce :

Comme des moustiques autour d'une chandelle, les grands requins blancs sont attirés par les fermes à thons dans des proportions de nombre alarmantes.

Cette semaine encore, voici une des images montrant un grand blanc mort (ou mourrant), en octobre dernier. Tandis qu'on nous montre les fermes à thons (là où l'on élève tous ce bon thon en boîte ou en filet, "pêché" et qu' on dit sauvage...) comme l'alternative viable à la capture en pleine mer des ces poissons si convoités, les relevés de ces grands requins blancs qui percent les filets de retenue et meurent dans la "ferme" sont rarement communiqués et qui pourtant mériteraient néanmoins d'être soulignés, analysés, expliqués, etc...

La plupart des images prisent montrent des jeunes en age de se reproduire, ce qui pose l'importante question suivante : n'y a-t-il aucun protocole de défense des requins contre l'exploitation industrielle (indirecte ici) qui sauvegarderait ces animaux essentiels à la chaîne alimentaire ?

Je pense qu'il en existe (et je ne suis pas le seul), mais le manque d'intérêt et la peur du boycott de ces produits issus des fermes à thons sont deux épaisses barrières à un réel et durable éco-changement...

A se prendre pour Dieu, on en oublie le Diable qui sommeille...